Mon travail en temps de défi – CORONA
En période de coronavirus, j’offre toutes mes thérapies personnellement, bien sûr. Si vous ne voulez pas vous déplacer physiquement vers moi, vous pouvez travailler avec moi via Skype/ Messenger/ mobile ou ligne fixe – peu importe qu’il s’agisse d’un travail énergétique, spirituel ou de conversation.
Le groupe de formation „Thérapie intégrative : Accompagnement psycho-spirituel de l’âme“ se déroule actuellement via Skype audio : Nous échangeons, lisons ensemble, discutons et méditons ; nous voyageons vers les éléments et tirons nos expériences. C’est probablement la première fois que je suis reconnaissant pour la digitalisation du monde …
Et voici, l’extrait de la Newsletter Aquariana 3/20, ma contribution aux crises internes et externes : La peur ronge l’âme – ou comment une crise peut nous renforcer:
Ein Artikel von Clara Welten
Je travaille également dans le temps du CORONA. Certaines personnes préfèrent utiliser Skype/ Messenger ou le téléphone pour les séances ; pour d’autres qui trouvent leur chemin jusqu’à moi, je suis là sur place. S’ils ont besoin de soutien, je les réconforte – Corona ne s’interpose pas entre moi et l’autre personne. Pourquoi ? Parce qu’après plus de 15 ans de travail et de réflexion spirituelle, je ne crois pas qu’éviter l’espace public et se laver les mains 10 fois par jour soit en soi une garantie de quoi que ce soit. Ce que les médias ne soulignent pas (encore une fois) en cette période de crise, ce sont toutes les méthodes de guérisons alternatives et complémentaires, c’est-à-dire le renforcement du système immunitaire grâce à la nutrition, grâce aux plantes, aux herbes et, surtout pour moi : grâce à l’hygiène de mon ménage émotionnel.
Nous, qui sommes „spirituelles“, nous croyons en la connexion du corps – de l’âme – de l’esprit, de notre bien-être holistique, dont chaque individu peut prendre soin consciemment. Qu’en est-il de nos conceptions et valeurs spirituelles en cette période de crise ? S’appliquent-elles uniquement dans la zone de confort des niveaux de vie européens ? Ou surtout en temps de crise ? Dans notre cas, la crise signifie que la peur ronge les âmes, alors que la mort et le meurtre font rage sur plus des deux tiers de la surface de la planète. Les plus de 20.000 femmes, enfants et hommes, dont le nombre à la frontière turque augmente chaque jour, ne sont pas tourmentés par un facteur de peur, par une émotion, mais ils survivent et meurent dans la boue, tandis que l’Europe (une fois de plus) ferme les frontières et prend désormais soin d’elle-même et de ses habitants*. La question : „Est-ce que je prends le bus ou est-ce que je préfère cuisiner moi-même à la maison ? est devenue une question apparemment existentielle : Plus de plaisir, plus de café, plus de fitness, plus de cours de yoga, plus de piscine, plus de lecture à la bibliothèque, plus de concert pour la joie de l’âme, plus de pièce de théâtre pour la réflexion et l’échange, plus de rencontre avec des amis pour manger dehors, plus d’événement à vivre : Ensemble, en ce moment, va de pair avec la peur, avec les stratégies d’évitement. Pourtant, il est si important sur le plan existentiel, surtout en temps de crise, de prendre soin de son corps, de son âme et de son esprit et de prendre soin de soi-même.
Qu’est-ce que la peur fait à nos organes, à notre système corporel ? (Chacun ressent cela en lui-même.) Et que peuvent faire la lumière, la foi, la méditation, le centre du cœur et la compassion avec notre corps ? Quel effet positif le travail énergétique peut-il avoir sur notre système immunitaire et donc sur notre constitution physique, en le renforçant même ! Quel est le but de notre compréhension spirituelle du bien-être holistique, du travail sur les chakras, des méditations, des invocations, du travail sur les animaux de pouvoir, de la nutrition saine, de l’amour et de la compassion ? Notre attitude est-elle à l’épreuve des crises ou n’est-elle qu’un luxe de la zone de confort, qui – comme tout luxe – diminue en temps de crise ?
Je voudrais nous appeler à soutenir, à soutenir, à former notre confiance en soi et en ce qui est lié à la lumière qui nous entoure, à aimer cette vie connectée au point qu’elle nous donne de la force même et surtout en période de défi ! Parce qu’il n’y a rien d’autre maintenant – une période de défi – pour vous et votre conscience. Qui aime la vie peut mourir. Il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi. Mais celui qui aime la vie, dans toute sa force, peut vivre en particulier attentif et engagé !